Dabirsim: tentez votre chance pour gagner une saillie gratuite de l'Étalon Noir !

22/01/2020 - Zoom Etalon
À l’occasion de la saison de monte 2020, Simon Springer décide de lancer un grand jeu auquel peuvent participer tous les éleveurs désireux d’obtenir un jour un rejeton de son champion, Dabirsim. En effet, pour peu que la production de ce dernier n’atteigne pas les 70 victoires en course cette année, tous les participants ayant répondu au défi lancé par l’homme à la tête de Normandie Pur-Sang se verront offrir la saillie. Une offre nouvelle, particulièrement alléchante, et marque de l’estime portée par l’entourage de l’Étalon Noir qui, année après année, continue de faire parler de lui aux ventes et sur les hippodromes français et européens.

Dabirsim: Le Grand Jeu 2020 en vidéo 

 

La saison de monte n’a pas encore démarré que déjà un nouveau jeu devrait faire des émules chez bien des professionnels et tout passionné de courses et d’élevage qui se respecte. En effet, Simon Springer, le « big boss » de l’écurie Normandie Pur-Sang, montre encore plus la confiance qu’il porte en Dabirsim, l’un de ses étalons vedettes, en lançant à l’orée de la saison de monte 2020 le défi suivant. Les éleveurs souhaitant envoyer une jument à l’Étalon Noir cette année auront le choix entre deux formules :


- La formule dite « classique », avec la saillie poulain vivant au tarif fixe de 12.000€ ;
- La formule dite « de luxe », avec la même saillie fixée à 15.000€ comme l’an dernier.


Cependant ! Si les éleveurs choisissent cette dernière, alors ils relèvent le défi en question et peuvent se voir ladite saillie offerte si la production de Dabirsim ne sort pas victorieuse de 70 épreuves en 2020, qu’elles soient courues en France ou à l’étranger.

Dabirsim


Rappelons que Dabirsim eût été un modèle de précocité en course, restant invaincu en l’espace de 5 sorties à 2 ans et en ayant remporté les deux meilleures courses de la génération sur le sol français : le Prix Morny (Gr.1) sur le parcours rectiligne de Deauville, et le Prix Jean-Luc Lagardère (Gr.1) à Longchamp, où il avait véritablement « refait le champ de course » sous la selle du toujours ingambe Frankie Dettori.

Dabirsim, lors de son impressionnante victoire dans le Prix Jean-Luc Lagradère (Gr.1), avec Lanfranco Dettori en selle


Après avoir officié en tant qu’étalon en Allemagne pour ses deux premières saisons de monte, ce splendide noir pangaré d’1m67 a posé ses valises au Haras de Grandcamp d’Éric Lhermite, y étant stationné depuis 2016 et continuant à faire fureur grâce à ses produits s’illustrant aussi bien sur les rings des ventes que sur les anneaux du monde entier. En effet, dès sa première génération, les noms de Cœur de Beauté, gagnante du Prix Imprudence (Gr.3, Deauville) et seconde d’une courte tête de Teppal dans la Poule d’Essai des Pouliches 2018 (Gr.1), ParisLongchamp); de Different League, vainqueur des Albany Stakes (Gr.3) lors du meeting de Royal Ascot 2017 puis vendue 1.5 millions de guinées pour Coolmore à Tattersalls sont la marque d’un début de carrière réussi en tant que reproducteur. 2019 aura également été une année faste pour les produits de l’Étalon Noir, engrangeant pas moins de 79 succès. On se souvient notamment de la victoire de Celestin dans le Critérium du Languedoc (L.) à Toulouse, paré de la casaque de Normandie Pur-Sang, mais également de Rose Flower, gagnante du Prix Amandine (L.) à Maisons-Laffitte ou encore du « globe-trotter » de Fabrice Chappet, Pizzicato, vainqueur en 2019 du Prix Montenica (L.) à Chantilly et des All-Weather Championship Stakes de Lingfield, que nous avions vécu en direct avec vous.

Dabirsim, seigneur en son domaine au Haras de Grandcamp


Les plus frileux diront qu’il n’y apas de raison que ses produits fassent moins bien que l’an dernier, surtout avec un important contingent de chevaux de 2 et 3 ans aux dents longues arrivant sur les pistes, résultant de deux années de monte où le carnet de bal de Dabirsim était des plus complets (200 juments en 2017 et 161 en 2016 !). Or, dans les courses, un seul verdict compte : celui du poteau. Et ce n’est qu’à la fin de l’année que l’on saura qui de Simon Springer ou des éleveurs ayant relevé le défi sortira vainqueur. À vos paris !

Prêt(e)s à relever le défi ? En tout cas, moi je le suis !

 

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