Hebdo 1

Heureusement à Deauville, la pluie n'est qu'une illusion d'optique (1/2)

On croirait presque un lâcher de taureaux sauvages dans les rues bondées pour une féria espagnol. En fait, ce sont les féroces compétiteurs de la traditionnelle course d'âne de Trouville.

Quelle action, quel plané ! Il ne reste plus qu'à déceler son terrain préféré.

Même au milieu des paillettes de Deauville, l'obstacle conserve des particularités. Un métier de guerriers

Le moment où l'expression " ce cheval est une vraie peinture" prend tout son sens

La Reine Goldikova, attrapée au vol après l'entrainement, tenue par Thierry Blaise

Une cravache d'honneur lors du gala des courses à Bernard Sécly, entraineur d'obstacle légendaire, dont la passion du couple n'a pas perdu un souffle !

Allez la Bretagne ! Après le succès historique de Dabirsim dans le Prix Morny, tous les éleveurs bretons, si fiers, ont rejoints Frankie Dettori et Michel Monfort

Après le succès de Dabirsim dans le Prix Morny, son entraineur Christophe Ferland, installé à La Teste, jubile

Les golden brothers ! Propriétaires éleveurs de Goldikova, mais aussi Galikova et bien d'autres, les frères Wertheimer (Gérard, à gauche, et Alain) ont passé un été de rêve à Deauville, en fêtant le centenaire de leur élevage.

Ah le charme surrané des vacances d'antan...Guy Henrot et son épouse ont parfaitement le style

Comment se payer une bonne tranche de rigolade... On ne sait pas qui de David Smaga ou Freddy Head a sorti la blague, mais elle devait être savoureuse.

Il pleut à Deauville ? Non c'est seulement une illusion d'optique.

Et c'est la chute ! Jour de l'ouverture des ventes de Deauville dans le nouveau ring d'Arqana, le top price du lundi à 440.000 euros, effrayé par les applaudissements, glisse et tombe.

"Merci mon beau Cirrus", Corine Barande-Barbe a les yeux pleins d'amours pour le chouchou du public, Cirrus des Aigles, qui s'est envolé dans le Grand Prix de Deauville

Un top price à 1,7 millions d'euros pour une nièce de Sarafina par Galileo.

Du club Mickey au club des cravaches d'or. Voilà comment on suscite les vocations

Au revoir l'homme au chapeau. Après quatre décennies de bons et loyaux services, Jean-Louis de Watrigant donne son dernier départ, celui de sa retraite.

Du club Mickey au club des cravaches d'or. Voilà comment on suscite les vocations

Goldikova, ma reine, la reine de toutes les courses