Sauter ou foncer ? Ces jockeys ont fait leur choix
Dans le monde des courses de galop, les jockeys choisissent souvent de se spécialiser en plat ou en obstacle. Deux manières différentes d’appréhender les courses et c’est certainement ce qui explique le petit nombre de pilotes à être passés de l’une à l’autre. En règle générale, si un jockey est léger, il va se diriger vers le plat et s’il est plus lourd, il ira vers l’obstacle. La frontière du poids a donc son importance, mais ce n’est pas la seule. Dans le vestiaire, les clichés ont la vie dure. Quelques théories selon lesquelles les jockeys de plat seraient frêles et délicats tandis que les pilotes d’obstacle seraient durs au mal. Comme une frontière immuable, de nombreux jockeys commencent et terminent leur carrière dans la même spécialité, mais il ne faut pas oublier ceux qui se meuvent d’un monde à l’autre. Si certains quittent le plat pour l’obstacle, il est plus rare d’observer le phénomène inverse. L’exemple le plus significatif n’est autre que le britannique Jim Crowley, premier jockey pour Shadwell et partenaire attitré de la superstar Baaeed.






