Equistratis a tenu sa 1e conférence publique en direct depuis les élections socio-professionnelles de la fin de l'année 2019. Entre temps, l'imprévisible crise a bouleversé de nombreuses donnes. Equistratis, qui prônait le recours au PGE (Prêt Garanti par l'Etat) auquel France Galop ne fera finalement pas appel, s'est exprimé aujourd'hui : ecoutez Jacques Carles, Alain Bigot, Caroline Sionneau et Thierry Besnard.
Quelques jours après son interview qui a suscité un vif intérêt et de nombreux questionnements, Jacques Carles, le délégué général d'Equistratis, éclaircit un point crucial de son argumentaire sur le sujet du non recours au PGE (Prêt Garanti par l'Etat). Il affirme qu'il s'agit d'ouvrir la voie de la transformation du PMU en Société Anonyme, une perspective que le Think Tank combat vigoureusement. Lire le communiqué.
Le Think Tank Equistratis effectue son grand retour public à travers une interview de son délégué général Jacques Carles. Celui-ci aborde les sujets qui préoccupent tout le monde actuellement : modalités financières de la reprise et les grandes réformes qui n'ont toujours pas eu lieu, y compris au trot malgré la victoire de leurs candidats aux dernières élections.
Le think tank Equistratis, qui travaille sur le sujet des courses depuis 3 ans, apporte son analyse sur le plan de sauvetage de la filière, ayant lui-même adressé ses propositions aux pouvoirs publics le 15 avril. Il pointe le piège des contreparties que les Sociétés Mères doivent éviter en se réformant elles-mêmes plutôt que de devoir effectuer des coupes sombres dont les socio-professionnels seraient les victimes immédiates.
De retour à l'action publique, le think tank Equistratis exhorte les Sociétés Mères, France Galop et Le Trot, à recourir au PGE (Prêt Garanti par l'Etat) à hauteur de 300 millions d'euros, afin de sauver la filière hippique victime de l'arrêt complet des courses depuis la mi-mars 2020. Lire le communiqué complet ci-dessous.
Considérant qu’il est urgent de trouver des réponses aux difficultés des Socio-Professionnels mais aussi aux fragilités de l’Institution hippique afin d’éviter une privatisation des courses Premium et du PMU d’ici la fin de l’année, Equistratis propose un plan de financement global pour sauver la Filière hippique. Il comporte 3 grandes parties : un emprunt garanti de 300 millions d'euros, une suvention de 50 millions d'euros et l'accès aux 120 millions de trésorerie que les sociétés-mères détiennent au sein du PMU.