Le groupe de réflexion Equistratis, actif depuis 4 ans au trot et au galop, revient sur le devant de la scène avec une interview de son délégué général Jacques Carles, qui livre un point détaillé sur la situation actuelle des courses en terme stratégioque et financier. Il explique, entre autres, la plainte contre X déposé au Parquet National Financier.
Accusant les institutions des courses (Le Trot, France Galop, PMU) de coûts de fonctionnement dispendieux, Equistratis demande une diminution de 140 millions d'euros afin de les redistribuer aux socio-professionnels. Le think tank publie un rapport de 37 pages, à découvrir in extenso. Lire le communiqué.
Equistratis a tenu sa 1e conférence publique en direct depuis les élections socio-professionnelles de la fin de l'année 2019. Entre temps, l'imprévisible crise a bouleversé de nombreuses donnes. Equistratis, qui prônait le recours au PGE (Prêt Garanti par l'Etat) auquel France Galop ne fera finalement pas appel, s'est exprimé aujourd'hui : ecoutez Jacques Carles, Alain Bigot, Caroline Sionneau et Thierry Besnard.
Quelques jours après son interview qui a suscité un vif intérêt et de nombreux questionnements, Jacques Carles, le délégué général d'Equistratis, éclaircit un point crucial de son argumentaire sur le sujet du non recours au PGE (Prêt Garanti par l'Etat). Il affirme qu'il s'agit d'ouvrir la voie de la transformation du PMU en Société Anonyme, une perspective que le Think Tank combat vigoureusement. Lire le communiqué.
Le Think Tank Equistratis effectue son grand retour public à travers une interview de son délégué général Jacques Carles. Celui-ci aborde les sujets qui préoccupent tout le monde actuellement : modalités financières de la reprise et les grandes réformes qui n'ont toujours pas eu lieu, y compris au trot malgré la victoire de leurs candidats aux dernières élections.
Le think tank Equistratis, qui travaille sur le sujet des courses depuis 3 ans, apporte son analyse sur le plan de sauvetage de la filière, ayant lui-même adressé ses propositions aux pouvoirs publics le 15 avril. Il pointe le piège des contreparties que les Sociétés Mères doivent éviter en se réformant elles-mêmes plutôt que de devoir effectuer des coupes sombres dont les socio-professionnels seraient les victimes immédiates.